L'auteur
Je m’appelle Iban Lavigne --Urchoeguia, j’ai 14 ans, et je suis un élève de troisième au collège Sainte Marie, à Saint Jean de Luz.
J’écris depuis très longtemps. J’ai commencé avec des très courts livres à la main, bourrés de fautes, vers 7/8 ans, mais plus les années passaient, plus mon écriture devenait plus légère, mais plus prenante à la fois, plus implicite, mais plus rigolote à la fois. J’ai écrit plusieurs tomes des aventures qu’il m’arrivait en classe de primaire. Et puis, il y a deux ans, j’ai commencé l’écriture de « Priscilla In New York ». Mon rêve était de le publier, et mon rêve s’est réalisé !
À part l’écriture, j’aime beaucoup la lecture, les livres d’Agatha Christie, par exemple. J’apprécie également beaucoup écouter de la musique, plutôt de l’Américain. Et j’adore la danse, sport que je pratique 3 fois par semaines, en plus des heures que je passe dans ma mezzanine à inventer des chorégraphies.
Je suis quelqu’un de bienveillant, de généreux, de sensible.
Iban Lavigne Urchoeguia, Priscilla in New York
Présentation du livre
En pré commande jusqu'au 20 février, 298 pages
Livraison fin mars
Quand on mène une vie sans accroc, le plus dur est d’encaisser un drame soudain.
Elle vivait à Los Angeles, en Californie.
Elle pensait que sa vie était parfaite, mais un jour, tout bascula. Un jour, ses parents se concertèrent et décidèrent de la scolariser dans une école située à New York.
« Un point c’est tout », furent les quatre petits mots qu’employèrent ses parents, 4 petits mots qui scellèrent la discussion et qui l’expédièrent à New York.
Elle quitta tout : ses amies, sa maison, sa famille pour redémarrer une nouvelle vie à l’autre bout des Etats-Unis.
Cela aurait pu être un scénario classique : elle s’habitue tant bien que mal à sa nouvelle vie, elle se fait quelques amies, elle a des bonnes notes…
Mais ça ne s’est pas du tout passé comme ça.
En effet, en entrant dans son nouvel établissement scolaire, elle sentit quelque chose d’étrange : elle sentit l’aura et l’imposance que dégageaient l’école. Oui, elle en était sûre, quelque chose de spécial se produisait dans cette école. Lorsqu’on y entrait, on était sûr de voir sa vie chamboulée, pour le meilleur et pour le pire…
Si seulement elle avait su…
Si seulement elle avait su que cette école changerait, du tout au tout, sa vie…